À l’âge de sept ans, il achète sa première planche de surf. Depuis, il n’a jamais cessé de se battre pour être l’un des meilleurs surfeurs du monde. Vague après vague, il remonte sur la planche, car la clé du succès est de ne jamais abandonner.
À l’âge de sept ans, il achète sa première planche de surf. Depuis, il n’a jamais cessé de se battre pour être l’un des meilleurs surfeurs du monde. Vague après vague, il remonte sur la planche, car la clé du succès est de ne jamais abandonner. Il commence la compétition à l’âge de 11 ans, et aujourd’hui, à 24 ans seulement, il est déjàchampion de surf de grosses vaguesobtenant un 10 à Nazaré (Portugal), et il est le seul surfeur espagnol du circuit “Big Wave Tour”.
Il fait face à des situations extrêmes et dangereuses, qui ne peuvent être contrôlées à cent pour cent.
« La peur sera toujours là, elle doit être là, parce que la mer est capable de tout et qu’il faut avoir beaucoup de respect pour elle. »
NATXO GONZÁLEZ
Nous partageons ce respect mutuel pour la mer, et ensemble nous voulons faire prendre conscience des grands défis auxquels la planète est confrontée. Lors de notre premier tournage en mer, Natxo est venu passer du temps avec nous et nous a fait part de son inquiétude pour l’océan. Écoutez les pensées de Natxo lors d’une conversation avec notre fondateur, Javier Goyeneche. "Natxo Gonzáleznous partage son inquiétude pour l’océan. L’augmentation des températures mondiales, la pollution par le plastique et les déchets affectent les océans du monde. Les plages sont couvertes de coraux blancs et morts. Nous avons le pouvoir de changer nos actions, agissons maintenant !”
« Natxo González nous partage son inquiétude pour l’océan. L’augmentation des températures mondiales, la pollution par le plastique et les déchets affectent les océans du monde. »
Javier Goyeneche, Ecoalf Président, Fondateur
L’océan est puissant, il a des forces incomparables. Mais dans la lutte contre la pollution, il a besoin de notre aide. Nous pouvons tous apporter notre gain de sable.
AIDEZ-NOUS À GARDER L’OCÉAN PROPRE